Les 7 et 8 mars, la grève féministe. Télétravail, précarité, violences : la colère gronde, alors on arrête toutes ! Sous nos masques, la colère gronde ! Et nous le dirons de multiples façons : en portant haut et fort les voix des associations féministes, collectifs et individuelles le 7 mars, de 13 heures à 17 heures, lors d’un grand rassemblement d’On arrête toutes sur la place de la République, à Paris. Puis, en faisant la grève féministe le jour même du 8 mars, en manifestant dans toutes les villes de France aux côtés de la CGT, la FSU et l’union syndicale Solidaires.
Les femmes, grandes perdantes du Covid-19. La pandémie de coronavirus pourrait bien signer un recul notable en matière de parité.
Les syndicats veulent corriger l’index égalité femme-homme. La CGT, la CFDT, FO, la CFE-CGC, la FSU, Solidaires et l’Unsa ont publié une déclaration commune affirmant que l’égalité entre les femmes et les hommes constitue « un levier indispensable de sortie de crise ».
Au travail, les femmes ont plus souffert de la crise sanitaire que les hommes. Aux États-Unis, une femme sur quatre a envisagé de revoir à la baisse ses ambitions professionnelles ou de ne plus travailler.
Quelle place pour les femmes dans la recherche scientifique ? L’expérience de trois chercheuses reconnues. La carrière des femmes dans les sciences se heurte toujours aux préjugés de genre et à l’inégale répartition des tâches domestiques. Comment valoriser les parcours ? Quelles mesures prendre pour faire avancer les choses ?